
En 2005, la famille de Kersauson a été touchée par la perte brutale de Caroline Piloquet-Verne, décédée à l’âge de 47 ans. Cette disparition a profondément marqué son fils Arthur et son ex-époux Olivier de Kersauson.
Une Perte Familiale Brutale
Caroline Piloquet-Verne, née en 1958, est décédée subitement en 2005. Les circonstances exactes de son décès n’ont jamais été révélées publiquement, la famille ayant choisi de préserver la confidentialité de ce moment douloureux.
L’Impact sur la Famille de Kersauson
Cette perte a particulièrement affecté Olivier de Kersauson et leur fils, conduisant le navigateur à s’exiler temporairement en Polynésie pour surmonter cette épreuve.
Le Choix de la Discrétion
La famille a délibérément choisi de garder privées les causes du décès, une décision qui continue d’être respectée près de deux décennies plus tard.
Un Tournant dans la Vie d’Olivier
Suite à ce drame, Olivier de Kersauson a trouvé refuge en Polynésie, où il a plus tard rencontré Sandra, devenue son épouse en 2013, marquant un nouveau chapitre de sa vie.
L’Héritage de Caroline
Mère d’Arthur, né en 1980, Caroline Piloquet-Verne reste une figure importante dans l’histoire de la famille de Kersauson, 25 ans de vie commune avec Olivier ayant marqué leur histoire familiale.
La Mémoire Préservée
Bien que les détails de sa disparition restent privés, son souvenir est maintenu vivant dans l’intimité familiale, respectant ainsi la volonté de discrétion de ses proches.
Les Épreuves Successives
Cette perte tragique n’est pas la seule épreuve qu’a dû affronter la famille, Olivier de Kersauson ayant plus tard lutté contre un cancer en 2018.
A l’occasion de la sortie du livre d’Olivier de Kersauson, “Veritas Tantam”, Laurent Ruquier l’a invité à intervenir sur Paris Première. Le combat du marin contre le cancer est revisité dans ce livre, et s’il a été personnellement touché par la maladie, la perspective de sa disparition ne lui a pas causé la plus grande détresse.
Olivier de Kersauson a fêté ses 78 ans en juillet, même s’il ne l’a que rarement fêté. Le célèbre marin a fait d’énormes progrès. La nouvelle de son cancer est tombée en 2018, mais il ne s’est pas trop inquiété car il avait déjà vécu ses plus belles années. “J’étais vieux, j’avais fait tout ce qu’il y avait d’intéressant à faire, ce n’était pas un drame si je disparaissais”, confiait-il sur le plateau de Laurent Ruquier sur Paris Première en novembre dernier, malgré une annonce terrifiante.
Il avait parlé publiquement de sa maladie à l’occasion de la sortie de son livre Veritas Tantam aux éditions du Cherche Midi. Audacieux et préparé, Olivier de Kersauson s’est mis à se battre, non pas pour lui-même, mais pour les autres. J’ai vu des gens souffrir et c’était très dur, très émouvant, dit-il à propos des établissements spécialisés qu’il a dû visiter dans le cadre de son traitement.
Il n’a pas de bons souvenirs de ces lieux. La vie dans un service de cancérologie est dure. On travaille avec des personnes vulnérables et sans défense. L’image dont il se souviendra toujours ? La vue de jeunes filles portant des bambins est effroyable. Elle est suivie par des enfants de cinq et six ans, elle se bat contre un ennemi terrible, et c’est touchant.
Plus de problèmes pour Olivier de Kersauson
Avec l’aide de professionnels de la santé compétents, de thérapies efficaces et d’une vision optimiste, Olivier de Kersauson a eu la chance de survivre. En novembre dernier, il s’est confié à Paris Match et l’a parfaitement dit : « Mais je n’ai pas pris ça comme un combat. » Il n’a pas fait la guerre. J’ai saisi l’opportunité de me faire soigner.
Comme on ne peut plus compter sur soi-même, tout est hors de notre contrôle. Vous manquez de connaissances. Vous ne pourrez pas vous en sortir tant que vous n’aurez pas accès aux informations que d’autres personnes possèdent. Olivier de Kersauson n’a pas dû surmonter qu’un cancer. Il a aussi perdu Caroline Piloquet-Verne, la mère de son fils Arthur.
Il s’est exilé dans le paradis polynésien après un événement tragique qui l’a poussé là-bas. Il y a rencontré Sandra et ils se sont mariés en 2013. Il a dit : « J’ai trouvé la bonne personne au bon moment, ça vous humanise. » Il est probable qu’elle lui ait donné le courage d’affronter la maladie.
Le récit d’Olivier de Kersauson et de Caroline Piloquet-Verne
Olivier de Kersauson est né le 20 juillet 1944 à Bonnétable, en France. Il est un navigateur, chroniqueur et écrivain français. Sa première femme était Caroline Piloquet-Verne. Malheureusement, le deuxième est décédé en 2005. Arthur est né en 1980 de l’heureux couple. Clotilde d’Urso, la nouvelle épouse d’Arthur, est la belle-fille d’Inès de La Fressange, créatrice de mode et mannequin. Caroline Piloquet-Verne est partie depuis 18 ans, et à part cela, on ne sait pas grand-chose de sa vie.
Comment est décédée Caroline Piloquet-Verne ?
À 47 ans, Caroline Piloquet-Verne est décédée en 2005. La cause de son décès n’avait pas été dévoilée jusqu’alors. La décision de la famille de garder le secret sur le décès du défunt a captivé à la fois les médias et le public, naturellement curieux et ayant ses théories.
Le Respect de la Vie Privée
La protection de l’intimité concernant les circonstances du décès témoigne de la volonté familiale de préserver la dignité de ce moment douloureux.
Un Chapitre Douloureux
Cette disparition marque un tournant dans l’histoire des Kersauson, ayant conduit à des changements profonds dans la vie de chaque membre de la famille.